Achat d’une pharmacie, travaux, frais d’agencement… quel que soit votre projet, trouvez un financement grâce à la nouvelle solution du crowdlending. Une alternative au prêt bancaire qui vous permet de vous développer, en toute sérénité.
Notre pays compte aujourd’hui une officine pour 2800 habitants, avec un chiffre d’affaires moyen de 1,4 million d’euros. 80 % de ce chiffre d’affaires est réalisé grâce à la vente de médicaments.
La reprise d’une pharmacie est, en général, un projet qui fonctionne. Le taux de survie après 5 ans est en effet supérieur à 90%. Cette reprise se fait, toutefois, sous conditions. Le repreneur doit obligatoirement être titulaire du diplôme d’État de docteur en pharmacie et disposer d’au moins 6 mois d’expérience. Par ailleurs, l’ouverture est soumise à la délivrance d’une licence par l’ARS (Agence Régionale de Santé).
L’activité est très réglementée et un certain nombre de dispositions juridiques et fiscales sont à respecter. Dans le cadre d’un projet de rachat d’officine, il est préférable de contacter l’ordre des pharmaciens pour des conseils ou un accompagnement.
Acquérir une pharmacie, en exploitation individuelle comme en société, nécessite de mobiliser un capital important. Le prix de l’opération comprend des éléments incorporels comme la clientèle, l’enseigne ou le droit au bail. Il inclut aussi de nombreux éléments corporels : informatiques, agencement ou encore, matériels divers.
A cela, s’ajoute le coût du stock ainsi que des frais annexes : les droits, les honoraires d’actes, les frais d’architectes ou encore, d’hypothèque. Au 1er janvier 2010, le prix moyen de cession des officines s’élève à 88 % du chiffre d’affaires TTC. Mais il peut s’échelonner entre 80 % et 120 %.
Différents investissements sont également à prévoir pour permettre à l’officine de se développer. Parmi eux :
l’acquisition d’un automate. Les robots sont des machines qui permettent de gagner du temps au comptoir, de dynamiser les ventes et d’optimiser la gestion des stocks. De nombreux établissements choisissent aujourd’hui cette option !
le financement des charges : paiement du loyer, des charges de personnel, du stock de médicaments, des assurances, des cotisations, des factures énergétiques, etc.
les dépenses d’agencement : un aménagement de l’espace optimisé permet de mieux organiser les postes de travail. Il rend le lieu plus agréable, met en valeur les produits et participe à l’image.
l’achat de matériel informatique. De bons équipements permettent un suivi comptable et administratif performant. L’investissement dans du matériel informatique dernière génération aide notamment à mieux gérer le stock, la facturation, les encaissements, la gestion du tiers payant ou encore, la télétransmission des feuilles de soin.
Votre choix de pharmacie est arrêté ? Vous devez maintenant trouver un financement. Un dossier solide et une forte motivation sont autant d’atouts pour que votre projet se concrétise.
Premier bon réflexe, se constituer un apport. Idéalement, cette somme doit atteindre entre 15 et 25% de la valeur d’investissement (selon le profil de l’officine), afin que les banques vous suivent. En général, l’apport permet de financer les coûts annexes à l’acquisition du fonds, tels que les frais d’acte, le besoin en fonds de roulement ou bien les travaux. Cette somme peut être complétée par un apport extérieur, par exemple, grâce à une donation, un prêt familial ou entre conjoints.
Étape suivante, la demande de prêt bancaire. En pratique, celle-ci intervient lorsque vendeur et acheteur signent un compromis. Vous pouvez toutefois consulter les banques en amont afin de gagner un temps précieux dans vos démarches !
Enfin, vous trouverez aussi des solutions de financement du côté des groupements pharmaceutiques. Les intéressés peuvent bénéficier d’un accompagnement avant, pendant et après l’installation. Ils peuvent profiter de prêts bancaires à des conditions privilégiées. Toutefois, cette option implique que le pharmacien rejoigne le groupement… et y reste. Un engagement auquel il faut réfléchir posément, avant de se lancer.
Cependant, la route sera semée d’embuches pour décrocher votre prêt bancaire. Dans un contexte de crise, la banque vous demandera des garanties. Le nantissement du fonds de commerce, une contre-garantie BPI et bien entendu votre caution personnelle !
Et ce n’est pas tout, la banque peut aussi vous demander d’augmenter votre apport s’ils estiment qu’il est insuffisant pour le rachat de votre future officine.
Rendu possible en France depuis 2014, le crowdlending s’impose comme une nouvelle alternative au crédit bancaire. Via des plateformes dédiées, les emprunteurs font appel à une communauté d’investisseurs. Simples, rapides, les démarches se font en ligne. À la clé, d’importants gains de temps et d’énergie… Et surtout, aucune garantie ne vous sera demandée !
Via le crowdlending, vous pouvez trouver des fonds pour acquérir votre officine ou développer son activité. Cette option vous permet de financer à la fois des besoins matériels et immatériels… et de diversifier vos sources de financement. En vogue, le crowdlending séduit de nombreux entrepreneurs. Sur l’année 2016, pas moins de 96,6 millions d’euros ont ainsi été collectés, selon le baromètre du crowdfunding de KPMG.
En décrochant un prêt participatif, vous envoyez un signal positif aux banques, qui sont alors dans de meilleures dispositions pour vous accorder, à leur tour, un crédit.
Pharmaciens, trouvez un financement grâce au prêt participatif sur la plateforme Credit.fr. Numéro 1 du crowdlending en France, Credit.fr répond à tous vos besoins. Nos analystes vous donnent une réponse définitive dans les 48 heures et vous permettent de gagner du temps dans toutes vos démarches. Découvrez nos diverses formules : des prêts de 20 000 € à 2,5 M€ pour une durée de 12 à 84 mois et une communauté qui choisit de vous soutenir !
Besoin d’un financement pour l’installation de votre officine ?